Les skippers de la Route du Rhum 2018 ont affronté quatre fronts dépressionnaires coup sur coup. Du jamais vu. Surtout la nuit. A tel point que la course s’est scindée en deux courses, car beaucoup ont préféré s’abriter dans les ports bretons et espagnols avant de repartir avec des jours meilleurs. Une chronique en demi-teinte, mi lumineuse, mi ténébreuse.
L'auteur de cette chronique : Karine Fougeray
Karine Fougeray est graphiste de formation.
Mais aussi directrice artistique, auteure de romans et scénariste.
Ponctuellement, équipée d’un micro et d’un téléphone satellite, elle peut s’improviser podcasteuse.
Surtout pendant La Route du Rhum.
Elle est Malouine, évidemment.
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